Autonomie des universités et liberté académique : la FQPPU se mobilise aux côtés des professeur·es de Nouvelle-Écosse et des États-Unis contre les ingérences politiques

Autonomie universitaire à risque : la FQPPU, avec l’ANSUT et l’AAUP, dénonce les ingérences politiques et défend la liberté académique.
Financement de la recherche au Québec : ce que la fusion des 3 FRQ change vraiment

Fusion des FRQ : quelles conséquences sur le financement de la recherche universitaire au Québec ? Analyse de la FQPPU.
Ingérence politique au Collège Dawson : la FQPPU dénonce une nouvelle atteinte à la liberté académique par la ministre Pascale Déry

La FQPPU dénonce l’ingérence politique de la ministre Pascale Déry dans le contenu d’un cours au Collège Dawson, une nouvelle atteinte à la liberté académique qui menace l’autonomie de l’enseignement supérieur au Québec.
Étudiant·es internationaux·ales au Québec : 3 recommandations urgentes pour préserver leur contribution

Étudiant·es internationaux·ales au Québec : 3 recommandations urgentes pour préserver leur contribution essentielle aux universités.
Une révision qui mériterait d’être révisée : arrimer le financement des universités au marché nuit à toute la société, affirme la Table des partenaires universitaires

Le travail effectué sur la révision de la Politique québécoise de financement des universités par la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, n’obtient pas la note de passage selon les membres de la Table des partenaires universitaires (TPU).
Le COPLA confirme : sans motifs sérieux, la ministre de l’Enseignement supérieur aurait bel et bien bafoué les principes de la Loi sur la liberté académique

S’il restait des doutes, ils se dissipent à présent : un comité d’expert·es, présidé par la professeure de droit Lucie Lamarche, conclut qu’à défaut de pouvoir justifier sa décision en fournissant des motifs conformes aux principes enchâssés dans la Loi sur la liberté académique dans le milieu universitaire, le refus du gouvernement de procéder à la nomination de Denise Helly au conseil d’administration de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) constitue bel et bien une atteinte à sa liberté académique, de même qu’à celle de l’ensemble du corps professoral de l’établissement.
Le milieu de la recherche s’oppose massivement au projet de loi n° 44 : la FQPPU demande au gouvernement de l’abandonner ou de modifier sa proposition

Il ne se passe pas un jour sans que des professeur·es, des étudiant·es, des professionnel·les de recherche et des personnes issues du grand public ne s’expriment contre le projet de loi n° 44 (PL44) : face à ces appréhensions largement partagées, la Fédération des professeures et professeurs d’université (FQPPU) demande au gouvernement de reculer ou de transformer significativement cette réforme qui menace l’avenir de la recherche libre et indépendante au Québec.
La FQPPU recommande au gouvernement de renoncer au projet de loi n° 44 ou d’y apporter des amendements importants

La FQPPU rend public son mémoire Protéger la recherche au Québec – toute la recherche, réitérant au passage son opposition au projet de loi n° 44.
Jouir d’un pouvoir est une chose, l’exercer de manière arbitraire en est une autre : réponse à Patrice Garant

La poursuite de la mission universitaire n’est possible que si l’on respecte l’autonomie des universités, sans laquelle il ne saurait y avoir de réelle liberté académique.
La ministre de l’Enseignement supérieur Pascale Déry confirme son ingérence politique dans le refus de la nomination de la prof. Denise Helly au CA de l’INRS

Après plus d’un mois de demandes de clarifications qui sont restées sans réponse, le ministère de l’Enseignement supérieur vient de confirmer les craintes exprimées par les professeur·es et les étudiant·es de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), de même que par l’ensemble de la communauté universitaire : la ministre Pascale Déry s’est bel et bien immiscée dans le processus de nomination de la professeure Denise Helly au conseil d’administration de son université.