McGill veut travailler avec ses profs ? Qu’elle renonce d’abord à s’y attaquer
McGill doit cesser de contester l’accréditation syndicale des professeur·es de droit et reconnaître leur droit à la négociation collective.
McGill doit cesser de contester l’accréditation syndicale des professeur·es de droit et reconnaître leur droit à la négociation collective.
La FQPPU a fait adopter deux résolutions visant à défendre une recherche libre et fondamentale.
La FQPPU recrute une personne pour assurer la liaison entre le comité exécutif et les associations et syndicats membres.
Le travail effectué sur la révision de la Politique québécoise de financement des universités par la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, n’obtient pas la note de passage selon les membres de la Table des partenaires universitaires (TPU).
Mépriser le droit à la négociation de ses salarié•es finit par coûter cher : une grève générale illimitée, déclenchée le 24 avril dernier par l’Association mcgillienne de professeur•es de droit (AMPD), menace présentement la tenue du Congrès de la Fédération des sciences humaines – le plus grand rassemblement d’universitaires au Canada, qui doit se tenir des 12 au 21 juin prochains – sur le campus de l’Université McGill.
La Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université s’inquiète des commentaires récents du premier ministre François Legault, qui a demandé au Service de police de Montréal de démanteler de force un campement de manifestation pacifique installé sur le campus de l’Université McGill.
Le congédiement de Patrick Provost, qui fait suite à une série de suspensions que lui avait imposées l’Université Laval, apparaît comme une atteinte inacceptable à la liberté académique, dans la mesure où il est vraisemblablement lié à ses prises de position controversées sur la vaccination contre la COVID-19.
Dans la négociation d’une convention collective, le mépris comme stratégie n’est à l’avantage d’aucune des parties : c’est le message qu’envoient à leur employeur les membres de l’Association mcgillienne de professeur·es de droit (AMPD), qui s’apprêtent à déclencher une grève générale illimitée dès le mercredi 24 avril.
S’il restait des doutes, ils se dissipent à présent : un comité d’expert·es, présidé par la professeure de droit Lucie Lamarche, conclut qu’à défaut de pouvoir justifier sa décision en fournissant des motifs conformes aux principes enchâssés dans la Loi sur la liberté académique dans le milieu universitaire, le refus du gouvernement de procéder à la nomination de Denise Helly au conseil d’administration de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) constitue bel et bien une atteinte à sa liberté académique, de même qu’à celle de l’ensemble du corps professoral de l’établissement.
Une analyse des données provenant des états financiers des Fonds de recherche du Québec (FRQ) par la Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) dévoile une situation inquiétante, présentée de manière trompeuse par les promoteurs du projet de loi n° 44 (PL44) : s’il est vrai que le budget total des FRQ s’est accru depuis sa prise en charge par le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE), ce sont les subventions avec modalités, qui soutiennent la recherche ciblée, qui ont augmenté, alors que la part relative du financement sans modalités, permettant la recherche libre, a diminué de façon importante.
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