Autonomie des universités et liberté académique : la FQPPU se mobilise aux côtés des professeur·es de Nouvelle-Écosse et des États-Unis contre les ingérences politiques

Autonomie universitaire à risque : la FQPPU, avec l’ANSUT et l’AAUP, dénonce les ingérences politiques et défend la liberté académique.
Étudiant·es internationaux·ales au Québec : 3 recommandations urgentes pour préserver leur contribution

Étudiant·es internationaux·ales au Québec : 3 recommandations urgentes pour préserver leur contribution essentielle aux universités.
Le COPLA confirme : sans motifs sérieux, la ministre de l’Enseignement supérieur aurait bel et bien bafoué les principes de la Loi sur la liberté académique

S’il restait des doutes, ils se dissipent à présent : un comité d’expert·es, présidé par la professeure de droit Lucie Lamarche, conclut qu’à défaut de pouvoir justifier sa décision en fournissant des motifs conformes aux principes enchâssés dans la Loi sur la liberté académique dans le milieu universitaire, le refus du gouvernement de procéder à la nomination de Denise Helly au conseil d’administration de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) constitue bel et bien une atteinte à sa liberté académique, de même qu’à celle de l’ensemble du corps professoral de l’établissement.
Ramener la recherche universitaire 20 ans en arrière

Dans une lettre d’opinion parue au Devoir le 16 mars 2024, Madeleine Pastinelli met en lumière les risques du projet de loi n° 44 sur la vitalité et la diversité de la recherche au Québec.
Jouir d’un pouvoir est une chose, l’exercer de manière arbitraire en est une autre : réponse à Patrice Garant

La poursuite de la mission universitaire n’est possible que si l’on respecte l’autonomie des universités, sans laquelle il ne saurait y avoir de réelle liberté académique.
La ministre de l’Enseignement supérieur Pascale Déry confirme son ingérence politique dans le refus de la nomination de la prof. Denise Helly au CA de l’INRS

Après plus d’un mois de demandes de clarifications qui sont restées sans réponse, le ministère de l’Enseignement supérieur vient de confirmer les craintes exprimées par les professeur·es et les étudiant·es de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), de même que par l’ensemble de la communauté universitaire : la ministre Pascale Déry s’est bel et bien immiscée dans le processus de nomination de la professeure Denise Helly au conseil d’administration de son université.
Refus d’entériner une nomination au conseil d’administration de l’INRS : une ingérence politique inquiétante

C’est une situation complètement inusitée et qui pose de sérieuses questions quant à l’autonomie des universités : la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, et le gouvernement du Québec n’ont pas entériné la nomination de la professeure titulaire Denise Helly au conseil d’administration de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS).